1. Accentuation de la durabilité et des réglementations environnementales
2. Augmentation du marché de la seconde main
Le marché de la revente est en pleine expansion et devrait atteindre 460 milliards de dollars d'ici 2030. En effet, une étude menée par Vestiaire Collective a montré que 85% de leurs utilisateurs sont de plus en plus adeptes du « acheter moins mais mieux ».
Globalement, le marché de la revente de vêtements dépasse déjà le secteur de la mode en général car il représente une opportunité de s’offrir des pièces uniques.
Si ce marché prend autant d’ampleur, ce n’est pas uniquement grâce à une prise de conscience des consommateurs, c’est aussi à cause de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs.
3. La chute des marketplaces
4. Renforcement de la loi Agec
5. La loi anti fast fashion
La loi anti-fast fashion est une initiative législative visant à réduire l'impact environnemental et social de l'industrie de la mode rapide. Elle impose des mesures pour limiter la surproduction, encourager le recyclage des textiles, et responsabiliser les marques dans la gestion des déchets. Son objectif principal est de promouvoir une économie circulaire et durable dans le secteur de la mode.
A partir de 2025, cette loi s’accentue pour les entreprises en imposant un malus écologique sur les produits disposant du plus mauvais impact sur l’environnement, à hauteur de 5 € par produit. Ce malus augmentera de 1€/an jusqu’à atteindre 10€ par produit en 2030.
A partir du 1er janvier 2025, la loi prévoit également diverses interdictions liées à la publicité :
- Interdiction de la publicité des produits de fast fashion
- La promotion des entreprises et marques de fast fashion
Cette loi s’appliquera également pour les influenceurs promouvant ces marques.
